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5 octobre 2006 4 05 /10 /octobre /2006 17:50
       
Sophie et moi cherchons toujours une marche qui ne nous entraine pas trop loin en voiture mais avec un bon   dénivelé. Nous avons cette fois jeté notre dévolu sur le village de Lucéram,
le circuit du Grand Braus, dénivelé 740m).

       

Contre toute attente, mon Philou a décidé de nous accompagner. Il a adoré cette rando qui, il est vrai est superbe car la marche se déroule sur les montagnes qui entourent Lucéram coté Sud et Est, à savoir Le Mont Auri(1185m), le Grand Braus(1331m) que nous avons gravi, le Mont l'Ablé(1262m).
Nous avons pu voir Lucéram sous tous ses angles quasiment tout le long du parcours.
Lucéram vaut à lui  seul le voyage et surtout la visite.


        Philippe est un très bon marcheur rapide et dirons nous expéditif, du style arrivé en haut de la montagne, voilà bon ça c'est fait, ensuite....ou'ss kelé l'ote montagne à franchir!?! Je schématise  mais j'apprécie qu'il fasse l'effort de venir de temps en temps m'accompagner dans ce sport loisir que j'aime tant...La page émotion étant fermée, bon ça c'est fait......La balade vaut vraiment le détour, une autre qui est assez impressionnante est celle que nous avons fait la semaine dernière, les Granges de la Brasque.

Petit chat perché, Chipie a encore perdu!!!!

Et voici l'album photo légendé!!!!
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13 juillet 2006 4 13 /07 /juillet /2006 20:58

                    Ca y est j'ai fait mon premier 3000 samedi 8 juillet et c'était magique!!!!!

    Nous sommes arrivées la veille au Gite-hôtel du Lac d'allos vers 18h30 juste à temps pour manger et surtout avant la pluie. Nous avons fait le tour du lac comme promenade digestive, nous en avions besoin car les plats de pâtes à la carbonara façon montagnarde cela tient au corps et c'était excellent!!!


    Après une brève nuit au gite (brève à cause des ronflements de nos voisins de chambrée), nous avons commencé la marche à 6h30 après le petit déj, à 5°c. Moi qui ne suis pas matinale, je ferai une exception à chaque fois que je marcherais en haute montagne,c'est trop magique!!!!



    Nous avons vu chamois et marmottes tout le long de l'approche de la Combe du Pelat

  
 Nous sommes arrivées au sommet à 9h25, nous étions seules au monde avec la montagne et la nature, un pur enchantement!!! Pas de nuage le soleil le bonheur!!!
    Nous avons décidé de faire le tour des lacs par le col de la petite Cayolle après avoir fait un crochet pour  voir le lac du Trou de l'Aigle.
Nous avons mangé au Pas du Lausson, il faisait ben frais!




Puis nous sommes retournées fatiguées mais heureuses au parking de la maison forestière du Laus à 14h30.

Dénivelé pour le Mont Pelat : 920m
Dénivelé pour le tour des Lac : 300m


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21 juin 2006 3 21 /06 /juin /2006 00:00

QUI SAURA?? moi, toujours moi....




QUI POURRAIT ME DIRE CE QUE C'EST????UN FRUIT UN PARASITE??

Il se trouvait à côté de buisson de mûres, au mois de septembre.


Ca y est je sais, c'est peu reluisant mais j'avais presque raison pour le parasite, cela s'appelle la galle du rosier ou bédégar. Le buisson était en effet un rosier sauvage...Cette "excroissance chevelue" est due à une minuscule guêpe . A l'intérieur vivent ses larves, dixit Marc Giraud dans "le kama-sutra des demoiselles".

  Explications web:
      Diplolepis rosae provoque la formation de galles poilues appelées bédégar. L'extravagance de ces masses rouges chevelues et leur taille qui peut dépasser 10 cm, ont frappé l'imagination des gens depuis fort longtemps. Ces galles sont connues sous le nom impropre et d'origine persane de "bédégar" (emporté par le vent) ou encore de "barbe de St Pierre".

Elles ont jadis été utilisées contre les troubles digestifs et les affections urinaires. On leur attribuait aussi une action soporifique, et, réduites en miettes, certains les ont utilisées comme tabac pour la pipe. Ces galles se forment généralement sur les tiges et sur les feui)les, au cours de l'été. Ces grosses galles renferment de nombreuses cavités larvaires abritant chacune une seule larve.

A l'automne, elles se dessèchent et persistent sur les rameaux pendant tout l'hiver.



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13 juin 2006 2 13 /06 /juin /2006 11:56

 

 

"Quand les nuages descendent du mont Baudon, rentre vite à la maison!!"
Voilà comment je connaissais le Mont Baudon, comme un signe de mauvais temps si les nuages cachaient sa cime. Le viel adage de Peille, et j'ai grandi  à la Grave de Peille (en bas de Peille)...




Hier donc il n'y avait aucun nuages sur le Baudon et nous sommes montées sur le Baudon au départ de Peille village et avons suivi l'itinéraire de randoygène.
Dénivelé : 620m
Durée : 2h pour monter, 1h15 pour descendre


C'est une balade facile, à part quand on arrive à proximité du Col de la Madone, un bel endroit ombragé dans la pinède  pour un dimanche en famille (la D22 est toute proche). Donc on commence à grimper parmi de rares hêtres  et surtout beaucoup d'éboulis et de terre ravinée.
Si vous avez des chiens, évitez de faire cette marche un dimanche car il y a beaucoup de monde et nos amis les bêtes font beaucoup d'aller retour un peu à la sauvage et créent de mini éboulements donc attention aux pierres qui peuvent surprendre un marcheur en arrière....

Voilà l'album photo de cette balade
















Sinon, lisez plutôt cet article qui donne toutes les précisions sur cet itinéraire.




 
"Nice-Menton" Côte d'Azur
TOP 25 n° 3742 OT 1/25 000 (1 cm = 250 m)
Au départ de Peille, parking du cimetière

L'arrivée au petit replat sommital de la cime de Baudon, par la soudaineté du panorama à 360° et le contraste des paysages qu'elle offre, du bleu des flots méditerranéens au blanc de l'arc alpin, enthousiasmera le visiteur, néophyte ou connaisseur; rarement en effet un sommet à l'altitude modeste (1 264 m) n'aura autant mérité le qualificatif de "belvédère". On admirera au départ le village de Peille, noyé dans une immense olivaie au faîte de la vallée du Paillon, avec ses toitures de tuiles rondes et ses nombreux édifices médiévaux tels le clocher roman "lombard" (XIIe), le toit en rotonde de la chapelle des Pénitents (XIIIe), l'enceinte fortifiée (XIVe), etc. Plus haut, après le col Saint-Bernard, on s'élève sous les falaises du Pied de Jacques par un tracé en corniche dans une haute futaie de pins Noirs d'Autriche ; puis vient le bastion terminal où une maigre végétation (ostryas, pins sylvestres, lavandes, grands ombellifères, aubépines, églantiers, genévriers) s'accroche aux barres calcaires typiques du relief karstique.

            Itinéraire

Depuis le haut du village (bd. A. Briand) gagner la base de l'escalier St-Bernard et gravir les marches qui rejoignent la petite route du Barri; celle-ci conduit en 1 km au col St-Bernard (746 m).

Continuer par une piste forestière qu'on quitte bientôt au profit d'un large chemin serpentant dans une pinède; s'élever ainsi aisément le long de la crête des Assalins qui vient butter sur les flancs escarpés de la cime de Baudon.

Par une montée progressive sous une ceinture de barres rocheuses, on gagne un vaste replat (974 m) au-dessus du col routier de la Madone.

Attaquer alors un ressaut très soutenu avec un sentier parfois acrobatique qui s'insinue dans l'adret dénudé du Baudon; la pente s'atténue en vue de l'épaulement sommital et on accède à la cime (1 264 m) par un bref crochet versant Nord, dans un taillis d'ostryas.

La descente débute par le même itinéraire, puis elle se développe sur la crête aérienne qui court vers le Rocher du Pied de Jacques (Nord-Ouest); peu avant deux grands pylônes EDF, bifurquer à gauche (Sud) pour plonger dans la barre par un astucieux sentier qui ramène à la forêt; longer ensuite la falaise et rejoindre le chemin de montée par la crête des Assalins.

Regagner facilement le col St-Bernard et le village.

 

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6 juin 2006 2 06 /06 /juin /2006 15:44
    Voilà deux nouvelles randonnées que nous avons faites.
Je n'ai pas trop de temps pour faire le récit de nos randonnées, j'ai juste fait des albums photos .
Il y a 2 semaines nous sommes montées sur la Cime de Roccassièra(vallée de la Vésubie), plus de 1000 mètres de dénivelé par le coté de Calençon, l'imberguet c'est à dire du côté du Var, à côté de Duranus. La marche a été assez dure, car le dénivelé se fait en très peu de kilomètres.
Voici les photos.


     Et la semaine dernière nous avons fait le Mont Falourde(moyen var) au départ de Massoins, sympathique village à 440m d'altitude.
    La marche n'est plus répertoriée complètement sur le site de  Randoxygène car la dernière partie celle qui débute des 2 gites, au plateau du Lac jusqu'au sommet du Mont Falourde est à vocation cynégétique, comprenez, réservée à la chasse.
    Je ne vous dirais pas tout le mal que je pense de ces chasseurs qui s'adonnent à une passion qui n'est rien d'autre que de tuer tout simplement.
De nos jours on ne chasse plus pour se nourrir et ni non plus pour préserver la nature, car depuis je vais sur les sentiers je n'ai jamais vu un chasseur en train de répertorier les multiples espèces ou même avec  une débroussailleuse et ni heureusement pour nous avec une tronconneuse...
Bon je vous ai tout de même dit ma façon de penser...
En résumé, vous ne trouverez plus les panneaux pour aller sur le Mont Falourde mais seulement pour aller au plateau du Lac

     En bref :
Dénivelé : 900 m
Durée     : 5h

Pssst: Une fois arrivé à la borne 194, sur le plateau du Lac prenez le sentier qui monte sur votre droite, pas celui qui descend car il vous menerait au joli village de Bairols ou  à Tournefort qui est  un autre point de départ pour aller au Mont Falourde avec moins de dénivelé(500m).
Donc vous montez sur le chemin de droite, après avoir suivi un large chemin en sous-bois vous allez arriver au niveau de champs cultivés, continuez et vous êtes sur les crêtes du Bau du Paradis, qui porte bien son nom, et vous voilà devant la dernière rude pente qui vous menera au paradis ou plus modestement au sommet du Mont Falourde à 1306 m d'altitude, la vue est panoramique. En contrebas, vous pouvez voir les villages Tournefort, Massoins, pllus vers l'ouest le Mont Vial, à l'est le Brec d'Utelle pour les plus proches. La vue est magnifique!!!

Le retour se fait par le même chemin, surtout si vous vous êtes garés à Massoins....

Et voici quelques photos de cette agréable rando

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1 juin 2006 4 01 /06 /juin /2006 20:43
    Et voilà, après de multiples entorses que je pensais bénignes, la dernière m'a été fatale, le médecin a posé son diagnostic : pied instable surement un ligament a lâché prise, peut-être indication d'opération.
    Donc Good bye rando, courses à pied, tout ce que j'aimais en fait,  chouette, il me reste la natation, je vais m'y replonger peut-être même m'y noyer pour oublier ma déconfiture!!
En fait je vais commencer par faire des examens et ensuite j'irais voir un chevillologue en espérant qu'ils auront inventé cette spécialité d'ici mes résultats. Je ne m'avoue pas vaincu euhh pas encore
Affaire à suivre sur la pointe des pieds, aie!!!!
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6 mai 2006 6 06 /05 /mai /2006 22:13
        Nous avons eu plusieurs fois l'occasion de grimper sur ses flancs car nous habitons juste à côté, à 5 mn des points de départ de la marche. Le plus connu  : Chateauneuf, 200m de dénivelé.
Un autre est au départ  de Tourette-Levens par Le Plan, moins de 500m de dénivelé.
On peut également débuté du hameau de Bordinas   mais pour moi le top c'est de commencer de Cantaron village en suivant les balcons de la Côte d'azur, GR51, cela fait 700m de dénivelé,déjà plus sérieux, non??

        Donc,  par une belle matinée au village de Cantaron vers 9 heures , nous,  les trois même drôles de dames,  commençons de monter le GR51  se profilant entre les habitations, là nous montons par un bon chemin, caillouteux par moment, qui longe des campagnes avec des oliviers.
        Enfin nous arrivons au charmant hameau qui compte quand même 9 familles ( il y a moins de 20 ans il n'y en avait qu'une), la moindre ruine est réhabilitée et restaurée avec beaucoup de charme.
        Donc de Bordinas nous atteignons la baisse du même nom par un sentier qui s'effrite tous les ans un peu plus et dont les glissades sont assurées surtout en descente.
La baisse de Bordinas est un carrefour de plusieurs sentiers de Petite Randonnée et Grande Randonnée, ils sont indiqués sur la carte "Nice-Menton", à savoir, vers l'ouest direction Tourrette-Levens (GR51) et vers le Nord 2 sentiers  vont vers le Mont Macaron (806m d'altitude).
         Petite aparté : depuis 5 ans que je vis dans le coin je suis allée au Mont Macaron pas moins de 7 fois mais jamais jusqu'à ce jour je n'avais eu la curiosité de changer mon itinéraire, c'est à dire que je montais vers le sentier le plus visible tout droit. Cette fois-ci aussi nous montâmes par le même chemin mais Sophie m'avait dit qu'elle aimerait bien trouver le 2ème itinérairre c'est ce que nous fîmes mais seulement au retour, donc je vous en reparlerais plus tard si vous ne dormez pas...
        De la baisse de Bordinas, en allant tout droit et en suivant le seul panneau indicatif visible, nous montons jusaqu'à la baisse de Macaron à 666m, sur ce chemin, on croise un ruisseau avec la mare aux tétards, les enfants adorent y aller pour patauger et essayer d'attraper les tétards, le paradis de Manu....
        Ensuite en tirant toujours tout droit et au plus court, nous atteignons la cime sud avec vue sur Nice, la Baie des Anges et vers l'ouest l'Estérel puis la cime nord du Mont Macaron à midi.
         Nous ne sommes pas allées cette fois aux ruines de Chateauneuf, elles sont vraiment belles je vous conseille d'y aller, le chemin pour s'y rendre est boisé, agréable et vous pourrez revenir par un autre sentier en contrebas au début du site à votre droite en partant des ruines.
Sur cette route,  vous pourrez croiser des troupeaux de moutons avec son berger et ses chiens...
Quand nous sommes revenues à la baisse de Macaron, plutôt que de revenir par le même chemin, nous avons pris le sentier qui mène vers la pointe de Rougier puis bifurqué vers le sud ouest, cette variante est vraiment intéréssante car quand il fera plus chaud je prendrai plus volontiers ce chemin car il est ombragé et moins rocailleux, il se termine ou commence,humhum dans un chemin privé bordé de chiens attachés, heureusement, mais assez bruyants. Nous voilà donc à la baisse de Bordinas et si le coeur vous en dit vous pouvez grimper la montagne d'en face à 651m d'altitude, le Mont Ubac, célébre pour ces antennes radio et quelques départs de parapente ; le chemin a été taillé par les VTtistes, attention à vous tout de même car les VTtistes courent toujours....
Le retour se fait par le hameau de Bordinas pas d'autres variantes sinon la route!
Voilà vous connaissez presque tout du Mont Macaron, y'a plus qu'à y aller!!!!!
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5 mai 2006 5 05 /05 /mai /2006 00:00

 
        Nous avons décidé ce vendredi-là, le 24 septembre, de faire la Cime des Collettes(1513m) et le Mont Brune(1518m) en une seule balade.

        Le départ se fait à Toudon (970m), à une dizaine de kilomètres de Gilette.
                 Nous avons commencé la marche à 10 h 00.

Nous avons vite atteint les campagnes abandonnées de Gabergia et le superbe plateau de verdures où il y a des ruines de maisons, des oursins bleus, des centaurées et surtout des ronces qui se transforment en automne en un magnifique garde-manger pour les gourmands de mûres…

En effet, il y  avait beaucoup de mûres sur le chemin, on s’est régalé, même le chien Chipie en a mangé du bout des babines pour ne pas se piquer…

Ensuite, le paysage change, et nous devons grimper dans de la roche et éboulis d’un blanc éclatant et passer entre des formations de rochers impressionnants (cf. photos).

Nous arrivons à la baisse des Collettes (1269m, b.91) et nous nous dirigeons vers le Mont Brune par l’ubac de la montagne. Nous arrivons à la baisse du Mont Brune (1416m, b.93) où se trouvent des abreuvoirs. Une route carrossable rejoint également la baisse.

La montée vers le sommet se fait sur un bon sentier pentu et nous dévoile le fleuve le Var et les villages de Malaussène, Villars-sur-Var. Il est déjà 12h30 mais le temps se couvre et nous nous retrouvons dans les nuages, nous redescendons vers la baisse des Collettes, n’oublions pas notre second objectif, la Cime des Collettes.
        Il est 13h30 quand nous arrivons enfin au sommet de la Cime de Collettes, il fait frais mais le temps est dégagé, nous marchons sur les crêtes e nous redescendons sur Toudon par l’adret de la Clappe (que nous n’avons pas fait !!!ahhh zut !!)

Nous mangeons sur une espèce de dalle de ciment  glissante en forme de toboggan qui finit sa course sur le …vide !??J’ai testé le côté glissant car je voulais que Chipie puisse se désaltérer au fin écoulement d’eau  qui suintait de la terre un peu plus bas vers le vide donc,  très naturellement je suis descendue un peu pour lui montrer mais hélas pour moi j’ai glissée dans la boue en remontant et j’ai eu bien du mal à redresser la situation et à ne pas glisser vers le vide trop près à mon goût…L’homme est incroyable….

Nous revenons aux anciens lavoirs de Toudon à 15h30. Et nous pouvons ainsi aller chercher les enfants à l’école…

 

Durée de la marche : 5h30 avec photos, repos et repas compris (la formule en somme !!)

Dénivelé total           : 792m, 548m pour aller de Toudon au Mont Brune et 244m de la baisse de Collettes à sa Cime.

 


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5 avril 2006 3 05 /04 /avril /2006 15:17






Circuit des Cabanelles
, au départ de Gorbio, parking supérieur (360 m).
"Nice-Menton" Côte d'Azur
TOP 25 n° 3742 OT 1/30 000 (1 cm = 300 m)
Au départ de Gorbio, parking supérieur



Point culminant du circuit, la cime de Galian (1 108 m) offre un tour d'horizon incomparable à la fois vers les hautes vallées du Mercantour et sur les pays mentonnais ou niçois : elle appartient à la ligne de crête qui, du mont Agel à la cime de Baudon, partage ces deux espaces formant la partie orientale de la Côte d'Azur. On en profitera pour identifier nombre de cimes proches ou lointaines, côtières ou alpines et pour mesurer une fois de plus le caractère essentiellement montagneux des Alpes-Maritimes dont la bande littorale semble singulièrement exiguë vue du haut. La forêt d'antennes de Radio Monte-Carlo voisine sur le plateau des Cabanelles avec les radars et les observatoires militaires de l'Agel, donnant à ce lieu à vocation pastorale une connotation surréaliste, les troupeaux d'ovins veillés par les chiens "patous" paissant tranquillement au pied des émetteurs hauts de plus de 100 m.

ItinéraireDu parking de Gorbio, remonter vers le Nord-Ouest le vallon du Rank par un large chemin pavé bordé de murs en pierre sèche; croiser bientôt la piste DFCI de Valmaour, puis s'élever parmi des campagnes entretenues pour retrouver à nouveau la piste un peu plus haut.

Parvenu sous la petite source de Romin, continuer l'ascension sur un chemin muletier au pavage intact qui s'élève en rive droite orographique du vallon, oliviers et cerisiers à l'abandon témoignent de cultures ancestrales.

Plus haut la forêt (pins sylvestres, charmes-houblons et yeuses) prend le relais et c'est dans une lande à moutons qu'on parvient à proximité du col de la Madone, à l'aplomb de la forteresse calcaire du Baudon; juste avant le col (910 m), repartir franchement à l'opposé (Sud) pour gagner le vaste plateau des Cabanelles.

Gravir au mieux hors-sentier la cime de Galian (1 108 m), circulaire et dégagée, qui fait face à la plus haute antenne.

Amorcer ensuite la descente, toujours vers le Sud, sur la baisse des Cabanelles et retrouver le bon sentier qui descend versant Est de la crête des Cabanelles en direction du col de la Coupière.

À la cote 600 m, un franc virage (Nord ) ramène en direction de Gorbio qu'on atteint par une piste bétonnée (1 km).


Caractéristique
 
Altitude : 360 m
Longueur : 9.3km
Montée : +750 m
Descente : -750 m
Durée 05h00
Difficultée Sportive
Période conseillée
Janvier à Décembre.


Accès Routier
Gagner le village de Gorbio soit depuis Roquebrune par la D.50, soit depuis Menton par la D.23, ces deux routes présentant un profil très sinueux et une chaussée par endroits rétrécie.

Stationner sur le grand parking situé légèrement en amont du village.
 
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21 mars 2006 2 21 /03 /mars /2006 00:00

Drap est un village au nord-est de la Trinité dans les Alpes-Maritimes.

A côté du cimetière, il y a un chemin plat qui rejoint un autre village, Château-vieux, commune de Peillon. Il est idéal pour les promenades en famille ou pour faire du jogging.

 

Sophie et moi, nous nous essayons à la course à pied, ce n’est pas encore concluant mais on y travaille…

 

Le début du parcours se fait au soleil, des chevaux tranquilles broutent de l’herbe trop sèche, Chipie, mon chien, à force de tourner autour d’eux en aboyant, s’est prise un coup de sabot dans la gueule, raté !!Elle s’est juste mordue la langue, ouf !! Mais la leçon a été retenue…

 

Le sentier bifurque très vite vers le nord, dans l’ombre des pins et rejoint une carrière ; déjà arrivé là on sait qu’on a fait 2,5 km, ouf on respire !! Mais ce n’est pas terminé, au milieu des genêts (sans jeu de mots) se cache la suite du chemin faite de 2séries d’escaliers plutôt abruptes. Allez courage, on continue, on croise une orchis de bouc, des anémones hépatiques  surtout des orchis pyramidales, des crocus, voici pour les plus fréquentes.

 

Le chemin continue en longeant la voie ferrée puis pour la plupart des joggers se termine au pied du pont du chemin de fer, ca y est 4,8km environ.

 

 

Pour les marcheurs, on peut passer sous le pont et remonter jusqu’au village de Château-vieux, environ 1 km plus loin

 

Ca y est,  vous connaissez le canal de drap ainsi nommé car il y a une canalisation ancienne qui longe tout le chemin

VENEZ VOIR LES PHOTOS



 
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